"Depuis la seconde moitié du XXe siècle, tous les prodiges informatiques reposent sur la Théorie des Codes. Cette théorie s’applique aussi aux textes écrits. Elle identifie un auteur avec une certitude qui peut dépasser 999 999 chances sur un million : chaque auteur présente des caractéristiques stylistiques dont il n’a pas conscience, mais que les mathématiques peuvent identifier. Cela permet de savoir si les diverses parties d’un même livre ont été écrites par un seul auteur ou par plusieurs.
"Depuis la seconde moitié du XXe siècle, tous les prodiges informatiques reposent sur la Théorie des Codes. Cette théorie s’applique aussi aux textes écrits. Elle identifie un auteur avec une certitude qui peut dépasser 999 999 chances sur un million : chaque auteur présente des caractéristiques stylistiques dont il n’a pas conscience, mais que les mathématiques peuvent identifier. Cela permet de savoir si les diverses parties d’un même livre ont été écrites par un seul auteur ou par plusieurs.
Appliquée au Coran, cette théorie révèle clairement plusieurs auteurs, décèle des dates de rédaction différentes et identifie des structures restées jusqu’ici cachées. Une perspective scientifique et insoupçonnée s’offre à nous, une lumière nouvelle éclaire le premier islam, sa nature, son histoire, et présente comme jamais encore vu l’islam d’aujourd’hui.
L’ouvrage est la publication d’une thèse soutenue en 2013 sous la direction de Marie Thérèse Urvoy. Cette recherche combine la théorie mathématique des codes et les informations sur l’Islam des deux premiers siècles de l’islam et son environnement culturel et religieux.
Cette combinaison conduit l’auteur à formuler six conclusions qu’il qualifie de "certaines" (p. 9) :
1. Le Coran a été rédigé par au moins trente auteurs (p. 21)
2. Le Coran a été écrit sur une période de plus de deux cents ans (p. 25)
3. La différence entre sourates de la Mecque et sourates de Médine est un artefact de grammairien sans signification historique (p. 30)
4. Mahomet a été intronisé prophète fondateur de l’Islam au plus tôt 60 ans après sa mort (p. 31)
5. La théologie musulmane n’est nullement une novation : c’est un quasi "copié-collé" de la théologie nazaréenne. Un seul des quelques 50 auteurs du Coran a rédigé tous les versets qui proviennent de la théologie nazaréenne (p. 39)
6. La fondation du premier islam n’est pas le monothéisme, mais l’anti-christianisme (p. 45) "
Appliquée au Coran, cette théorie révèle clairement plusieurs auteurs, décèle des dates de rédaction différentes et identifie des structures restées jusqu’ici cachées. Une perspective scientifique et insoupçonnée s’offre à nous, une lumière nouvelle éclaire le premier islam, sa nature, son histoire, et présente comme jamais encore vu l’islam d’aujourd’hui.
L’ouvrage est la publication d’une thèse soutenue en 2013 sous la direction de Marie Thérèse Urvoy. Cette recherche combine la théorie mathématique des codes et les informations sur l’Islam des deux premiers siècles de l’islam et son environnement culturel et religieux.
Cette combinaison conduit l’auteur à formuler six conclusions qu’il qualifie de "certaines" (p. 9) :
1. Le Coran a été rédigé par au moins trente auteurs (p. 21)
2. Le Coran a été écrit sur une période de plus de deux cents ans (p. 25)
3. La différence entre sourates de la Mecque et sourates de Médine est un artefact de grammairien sans signification historique (p. 30)
4. Mahomet a été intronisé prophète fondateur de l’Islam au plus tôt 60 ans après sa mort (p. 31)
5. La théologie musulmane n’est nullement une novation : c’est un quasi "copié-collé" de la théologie nazaréenne. Un seul des quelques 50 auteurs du Coran a rédigé tous les versets qui proviennent de la théologie nazaréenne (p. 39)
6. La fondation du premier islam n’est pas le monothéisme, mais l’anti-christianisme (p. 45) "